Le pèlerinage namurois fait son chemin
Namur - Pour la troisième fois, la fédération du tourisme de la province de Namur «sème» des pèlerins sur le chemin de Saint-Jacques.
Vendredi, c’était le «prologue» de la
troisième édition de l’opération «De Namur à Saint-Jacques autrement».
Une étape entre la capitale wallonne et Profondeville, pour accompagner
la quinzaine de pèlerins de la première vague, celle qui ralliera la
frontière française (Brûly) d’ici quelques jours.
La seconde vague partira du 6 au 14 avril. Durant les vacances de Pâques, la fédération du tourisme de Namur déposera différents groupes sur autant de portions des chemins de Compostelle, en France et en Espagne. Chacun de ces groupes pérégrinera une semaine durant sur un maillon d’une centaine de kilomètres.
Pourquoi donc semer des pèlerins sur une distance de plus de 2000 kilomètres? Afin d’ancrer davantage encore Namur (et la province du même nom) comme étape jacquaire, à l’instar des célèbres Vézelay, le Puy-en-Velay ou Saint-Jean-Pied-de-Port, hauts lieux du pèlerinage. C’est plutôt bien parti, puisque Namur fait désormais partie de la «Fédération européenne des chemins de Saint-Jacques». Voilà pourquoi chaque année, la fédération provinciale du tourisme envoie des ambassadeurs sur la route de Compostelle. Elle leur demande de «vendre» notre région tout au long du chemin. Elle leur demande également d’alimenter les réseaux sociaux pour relater leur expérience, sportive et humaine. D’appréhender le pèlerinage «autrement». Dans un but collectif, ce qui n’empêche évidemment pas les participants de vivre une aventure très personnelle.
La deuxième édition, en 2012, était partie symboliquement de la bien nommée église Saint-Jacques. Cette fois, le signal de départ a été donné au musée provincial des arts anciens du Namurois, autre lieu symbolique, puisqu’on peut y admirer le reliquaire du pied de saint Jacques, chef-d’œuvre d’orfèvrerie mosane, créé vers 1250. C’est reparti, et on annonce déjà une quatrième édition, l’année prochaine. Alors qu’aux origines, la récurrence de l’événement ne faisait pas partie des plans. Plus de 200 pèlerins namurois ont déjà participé à cette initiative originale, ils sont près d’une centaine cette année à chausser leurs bottines et à saisir leur bâton. De pèlerin évidemment. D’une édition à l’autre, la reconnaissance de Namur comme étape jacquaire importante fait son bout de chemin.
La seconde vague partira du 6 au 14 avril. Durant les vacances de Pâques, la fédération du tourisme de Namur déposera différents groupes sur autant de portions des chemins de Compostelle, en France et en Espagne. Chacun de ces groupes pérégrinera une semaine durant sur un maillon d’une centaine de kilomètres.
Pourquoi donc semer des pèlerins sur une distance de plus de 2000 kilomètres? Afin d’ancrer davantage encore Namur (et la province du même nom) comme étape jacquaire, à l’instar des célèbres Vézelay, le Puy-en-Velay ou Saint-Jean-Pied-de-Port, hauts lieux du pèlerinage. C’est plutôt bien parti, puisque Namur fait désormais partie de la «Fédération européenne des chemins de Saint-Jacques». Voilà pourquoi chaque année, la fédération provinciale du tourisme envoie des ambassadeurs sur la route de Compostelle. Elle leur demande de «vendre» notre région tout au long du chemin. Elle leur demande également d’alimenter les réseaux sociaux pour relater leur expérience, sportive et humaine. D’appréhender le pèlerinage «autrement». Dans un but collectif, ce qui n’empêche évidemment pas les participants de vivre une aventure très personnelle.
La deuxième édition, en 2012, était partie symboliquement de la bien nommée église Saint-Jacques. Cette fois, le signal de départ a été donné au musée provincial des arts anciens du Namurois, autre lieu symbolique, puisqu’on peut y admirer le reliquaire du pied de saint Jacques, chef-d’œuvre d’orfèvrerie mosane, créé vers 1250. C’est reparti, et on annonce déjà une quatrième édition, l’année prochaine. Alors qu’aux origines, la récurrence de l’événement ne faisait pas partie des plans. Plus de 200 pèlerins namurois ont déjà participé à cette initiative originale, ils sont près d’une centaine cette année à chausser leurs bottines et à saisir leur bâton. De pèlerin évidemment. D’une édition à l’autre, la reconnaissance de Namur comme étape jacquaire importante fait son bout de chemin.
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